• J'informe tous les visiteurs de ce blog que je serai absent du 07 juillet au 02 septembre 2008 mais rassurez-vous je reviens à la rentrée.

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    Je suis mort, au champs d'honneur 

    Après toute une vie de labeur 

    Cette guerre égorge le plus souvent le père de famille 

    Le  petit soldat qui n'est que pacotille 

    Sur le champs de bataille où 

    L'on court après la vie 

    Les balles fusent de partout 

    Et  parmi les cris qui 

    Retentissent par delà la forêt

    Qui voit son corps se déracinait 

    Moi le mien n'est plus en état de se battre.

     

    Mon corps fut plus divisé que mon esprit 

    Je fus pulvérisé avec toute ma compagnie 

    Nous nous retrouvâmes au sommet des cimes

    Après avoir marcher sur un champs de mines

    Notre pays nous offre des medal of honor

    Des martyrs, des massacres, des morts 

    Nous prêtons nos corps pour la paix

     

    Nous repartons la conscience encore plus lourde

    Que lorsque nous étions arrivés.

     


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  •  Mais pourquoi ?

     

    Ils vinrent,un matin
    Nous prirent,nous martyrs
    Nous emmèrent, nous jugèrent
    Sans raisons, ni convictions
    Nous enfermèrent dans des geôles bien précaires
    Pour ensuite nous amener
    Là où nous attend notre bûcher.
     

     


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  • a faire

     


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  • CHAPITRE I : Mon quotidien

     

    CHAPITRE I : Mon quotidien

     

    Dans le grand lit, un être semble dormir paisiblement. Mon corps dort encore; malgré cela mon attention reste en éveil et je pressens que quelque chose allait se produire. Il n'est pas encore l'heure, mes yeux se referment, ma tête s'alourdit et je me rendors mais soudain ce que je craignais arriva. Un objet abominable retentit avec fracas à côté de ma table de nuit. Cette chose se mit à hurler :

    "Bonnnjour à touus, il est six heures terrestres, le soleil se lèvera exactement dans neuf minutes et vingt-deux secondes, debout là-dedans"!!!

    Je hais le matin malheureusement comme tous les matins, mon réveil réglé comme un horloge sonnait à six heures précises. Et comme à mon habitude, je me saisissais de mon oreiller que j'envoyais à l'intention de mon réveil pour cesser son horrible vacarme. Ce réveil ou plutôt un relique me réveillait ainsi depuis l'âge de six ans; douze ans déjà que ma grand-mère me l'avait offert pour mon entrée au primaire. Ma grand-mère  m'avait fait à l'époque un cadeau qui était au dessus de ses moyens, à ce moment ce réveil était une petite  merveille de technologie, dernière génération. Depuis ce jour, ce monstre rugissait tous les matins jusque je daigne me lever pour aller l'éteindre. Mais après un réveil brutal, mon corps lui-même ne semblait pas vouloir bouger et aurait préféré paresser encore quelques heures au fond des draps mais comme dirait l'autre "quand c'est l'heure c'est l'heure".Mes membres encore tout engourdis  laissés paraître des marques. Mon réveil  sonnait  encore  malgré  l'oreiller prit  en pleine  figure. Je tendis la main et lui appuya dessus tel un buzzer de jeux télévisés. Une fois, l'horrible machine mise hors d'état de nuire à mes pauvres tympans, je tire ma couette polaire vers moi et m'emmitoufle dedans en me l'entourant autour de mon corps. Mes pieds tel des automates se glissent dans mes chaussons, mes orteils traversent le chausson pour ensuite apparaitre à l'extrémité de ce qui reste du chausson, il serait peut-être temps que je les change ?



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