•  

    Je suis mort, au champs d'honneur 

    Après toute une vie de labeur 

    Cette guerre égorge le plus souvent le père de famille 

    Le  petit soldat qui n'est que pacotille 

    Sur le champs de bataille où 

    L'on court après la vie 

    Les balles fusent de partout 

    Et  parmi les cris qui 

    Retentissent par delà la forêt

    Qui voit son corps se déracinait 

    Moi le mien n'est plus en état de se battre.

     

    Mon corps fut plus divisé que mon esprit 

    Je fus pulvérisé avec toute ma compagnie 

    Nous nous retrouvâmes au sommet des cimes

    Après avoir marcher sur un champs de mines

    Notre pays nous offre des medal of honor

    Des martyrs, des massacres, des morts 

    Nous prêtons nos corps pour la paix

     

    Nous repartons la conscience encore plus lourde

    Que lorsque nous étions arrivés.

     


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  •  Mais pourquoi ?

     

    Ils vinrent,un matin
    Nous prirent,nous martyrs
    Nous emmèrent, nous jugèrent
    Sans raisons, ni convictions
    Nous enfermèrent dans des geôles bien précaires
    Pour ensuite nous amener
    Là où nous attend notre bûcher.
     

     


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  • Le meurtre fraternel

     

    Les choses marchent et respirent

    Sans aucun avenir

     Les choses avancent et s'essoufflent

     Aucune protection ne les camouflent

     Les choses courent et tirent

    Avec des fusils qui crachent des plombs 

    Ils prennent un être bien blême

    Ils  l'endoctrinent , ils le modèlent

    A leur guise, ils l'entrainent 

    Ils l'abrutissent, ils le conditionnent 

    Ils ne réagit pas mais toujours

    Sans condition, il cautionne

    L'enfant est un être vide 

    Commandé par des hommes avides

    De pouvoirs et de règne

    Ils se servent de toi l'enfant

    Mais tu ne comprends pas

    Ils t'envoient au combat

    Et tu reviens de là-bas 

    Les mains couvertes de sang

    Et le tête remplie de haine 

    Envers tes propres frères

    Qui se sont entretuer.


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  • Un homme destiné à mourir

     

    Maltraité, il fut sacrifié

    Tel un agneau sans tâche

    Des hommes commettent un acte lâche

    Un crime qui ne les laisse qu'en sursis.

     

    Tous les hommes sont pêcheurs

    Mais tout homme n'est pas un tueur

    Mais sans crainte ils vont le tuer

    Il le fallait, ils l'on torturaient

    On lui demande d'avouer

    Lui ne dira que la vérité.

     

    Sur sa tête, on déposa

    Une couronne et on le cloua

    Tel un brigand, un voleur

    Mais en quel honneur ?

     

    Cet homme si gentil

    Comment put-il y laisser sa vie ?


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  • La condition du poète  

     

    Il  a souvent pour mission 

    De montrer les conditions

    Dans laquelle vivent autrui.

    Il n'est  pas là pour nous raconter sa vie

    Le poète n'est pas très scientifique 

    Mais son écriture est méthodique 

    Il ne croit pas à tout ce qu'il voit 

    Il pense par lui même et 

    Ecrit pour faire partager 

    Sa façon de penser et de voir le monde.

    Il voit plus loin que son propre pays 

    Il n'écrit pas pour se faire amis 

    Les gens ne voit pas forcement 

    Ce que le poète voit et vit

    Mais sur Terre des Millions d'êtres vivants

    Souffrent de la faim et des épidémies.

    Il ne se pose pas tant de questions

    Il ne montre pas seulement ses émotions

    Le poète voit, observe, décrit 

    Le poète regarde, constate et écrit 

    Il se fait juge et témoins et nous donne

     

    Un aperçu du monde dans lequel l'on vit.


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